Ne demandez pas de l’aide à certains plaisanciers. Une seule chose est importante à leurs yeux : que vous ne touchiez pas (même avec votre main) leur bateau. Cela c’était déjà vérifié hier.
Ce matin, rebelote : le skipper qui nous avait toisé hier soir était perché sur le toit de son bateau, bottes aux pieds et brosse à la main, en train de briquer le pont. Il a arrêté son travail le temps d’observer notre manœuvre. Peut-être a-t-il apprécié la dextérité de Marc.
Devant nous, à la première écluse un beau bateau de 18m, avec en guise de vélo une petite voiture. Il est entré dans le sas, et son premier réflexe a été de tirer la chevillette pour fermer la porte juste devant notre étrave. Il restait largement de la place pour nous.
Avez-vous reconnu nos amis bataves ? Mais rassurez-vous, ils ne sont pas tous du même tonneau !
Courage les amis, s’il le faut nous changerons de cap et arriverons en renfort.
Vous devriez peut-être enfiler des gants blancs ?
Nous espérons qu’au moins les canards sont gentils ! …
Bz à vous deux
JC & Co